Le vent souffle. Il est tôt, la ville se réveille petit à petit, les lumières commencent à luire. Dans les rues, des tas de Daulfinettes devant des vitrines à peine levées. Tous les salaires vont y passer. Au loin, un guerrier solitaire dans un monde solitaire, un chevalier et son balai… Il arrive le regard plein de résolution, la puissance des anciennes générations dans son sang. Puis ca y est, les soldes officiellement ouvertes !!!
Kwaï se fait renverser dès le départ, écrasé par des masses informes, des nageoires en pleine tête. Kwaï a du mal à respirer, il perd rapidement pied. C’est incroyable le niveau qu’il faut pour survivre à la galerie. Il se fait piétiner, bousculer, il tape du balai, crache du feu mais rien n’y fait face à la force des bonnes affaires, il se sent asphyxié.
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